Les lampes fluorescentes contiennent un mélange d’argon et de vapeur de mercure à basse pression. Ces ampoules, appelées aussi fluo-compactes sont des lampes compactes grâce au pliage en deux, trois, quatre ou six d’un tube fluorescent dont le diamètre est compris entre 7 et 20 mm.

Les rayonnements radioélectriques qu’émettent les ampoules basse consommation (230 Volts – 50 Hertz) sont dus aux nombreux composants électroniques intégrés dans leur culot. Cette véritable pollution n’intervient qu’en fonctionnement, l’ampoule allumée.

Le contenu en mercure des lampes fluorescentes peut varier de 3 à 46 mg[]. Elles contiennent du mercure, un métal toxique, qui représente un danger important pour les femmes enceintes, les nouveau-nés et les enfants en général.

Les décharges publiques refusent souvent ce type de lampes parce qu’elles contiennent du mercure.

Si une lampe fluorescente se brise, il est recommandé de bloquer sa respiration, d’ouvrir une fenêtre et d’aérer la pièce 10 ou 15 minutes avant de ramasser les débris pour éviter de respirer des vapeurs de mercure.

La poudre de béryllium a été utilisée comme couche interne des tubes fluorescents. C’est un produit très toxique qui peut induire une maladie dite bérylliose (maladie pulmonaire professionnelle ) chez les ouvriers qui l’ont manipulé, en particulier en Chine, où se trouvent des milliers d’usines (région de Canton).

En France, la loi oblige normalement les fabricants et distributeurs à collecter et recycler les ampoules usagées mais les conditions de récupération des centres de retraitement ne sont pas idéales.

Cet empoisonnement, qui rapporte gros, est passé sous silence !