comment-tenir-ses-bonnes-resolutions-du-nouvel-an-201-1482761432C’est marrant, on sait tous ce qu’il faut faire. On sait qu’il faut manger moins gras et moins sucré, ne pas fumer et faire du sport.  Le surpoids, le tabac, le manque de sport et le stress, c’est décidé, on arrête ça. Oui mais comment, comment faire pour y arriver ?

C’est-à dire que c’est facile d’essayer, et de tenir une semaine…Mais voilà que tout tombe à l’eau, par manque de volonté ou d’autodiscipline, à cause des horaires de travail et des responsabilités familiales. Ou de la vie sociale, des copains, de la famille, on ne peut quand même pas tout sacrifier.

Selon une étude conduite par le professeur Wiseman de l’université de d’Hertfordshire auprès de 3000 volontaires, nous ne serions que 12% à tenir nos engagements. Autrement dit, 70% des personnes qui s’étaient juré le 31 décembre d’arrêter de fumer, de se coucher plus tôt ou de fréquenter assidûment la salle de sport ont aujourd’hui échoué.

Quelques trucs

-Certains  conseillent de découper les objectifs en activités plus simples et de s’accorder des récompenses (restaurants, cadeaux) toutes les fois qu’un objectif est atteint.

-Il ne faut pas fixer la barre trop haut: celui qui souhaite se lever une heure plus tôt commencera par se coucher quinze minutes plus tôt durant une semaine et se lèvera à chaque fois quinze minutes plus tôt.

-Se fixer des étapes dans le temps avec des paliers à atteindre. Si la résolution est limitée au mois, prévoir une progression hebdomadaire.

-s’engager auprès de quelqu’un: dans ce cas, un abandon nous désavouerait aux yeux du ou des témoins ; de plus celui-ci pour nous soutenir dans notre effort.

-Inutile d’avoir trop de projets: ils seront voués à l’échec, le monde appartient à ceux qui en prennent avec parcimonie. Pas plus de trois, celui qu’on fera en premier, puis l’autre que l’on commencera ensuite et le dernier.

-Ne pas dramatiser quand on craque: personne n’est à l’abri d’un écart en cours de route. De quoi faire grimper le stress et dégringoler son estime de soi. Le mot d’ordre : ne pas culpabiliser.