Un coup dur pour le mou ?

Alimentation, médicaments, chirurgie ou poudre de perlinpimpin, tous les moyens sont bons pour chasser le mou et le gras, mais l’obésité gagne du terrain et nous mettons à ressembler à ces américains rondouillets nourris aux sodas, tacos ou pizzas.

Des chercheurs américains ont mis au point un vaccin qui permettrait de lutter contre l’obésité. Quatre jours après l’injection du vaccin, les souris traitées ont perdu 10 % de leur poids. Le vaccin se base sur l’association de l’hormone de croissance et d’une protéine (IGF-1).

Ce mélange permettrait d’accélérer le métabolisme. Et à terme faire que ces deux molécules entraînent une perte de poids…

La télé tue

Une étude de l’université de Queensland en Australie précise notamment que regarder la télévision à raison de 6 heures par jour se traduit par une baisse de l’espérance de vie de 5 années. Passé l’âge de 25 ans, chaque heure passée devant la télévision diminue de 22 minutes l’espérance de vie.


Il s’agit en fait d’une cause indirecte. Devant la télévision, on mange plus et l’activité physique est réduite à néant. Ces comportements se traduisent par plus de maladies diabétiques, cardiovasculaires et de cancers.

Une autre explication fait état de la solitude et des dépressions plus fréquentes qui résultent de la « consommation » excessive de programmes télévisés. Plus on reste cloisonné chez soi à regarder la télévision, moins on a envie de rencontrer d’autres personnes.

(Sources: gizmodo.fr)

L’automédication: un sport bien de chez nous

Plus de 70 % des Français recourent à l’automédication. En effet, selon une étude réalisée par TNS/Afipa, les français pratiqueraient l’automédication « responsable »: nous sommes 63% à suivre les recommandations du pharmacien. Favorisée par les nombreuses informations médicales trouvées dans les médias et par la publicité, c’est souvent une solution d’attente : « ça va passer tout seul », ou par manque de temps ou d’argent pour consulter un médecin.

Le gros problème réside dans la méconnaissance de la composition d’un médicament et de ses effets secondaires: d’où, par exemple,  la prise d’anti-inflammatoires ou aspirine chez un malade aux antécédents d’ulcère ou sous anticoagulant. Certains décongestionnants nasaux sont contre-indiqués en cas d’hypertension, de glaucome, de grossesse, etc. Et de nombreux médicaments entraînent une somnolence dangereuse pour la conduite ou pour certains travailleurs.