Ni l’un, ni l’autre. La laideur de notre environnement urbain réduit dramatiquement les bienfaits du jogging, c’est-à-dire la bonification de l’humeur et l’abaissement de la pression artérielle (et je ne parle même pas de la pollution…). En ce qui concerne les salles de sport, la vision d’un mur blanc, à savoir le vide, ou l’absence de paysage, aurait tendance à nous rendre moroses (et je ne parle pas du manque d’oxygène).  Aux Etats-Unis, des chercheurs ont comparé les deux situations, et franchement, « y a pas photo » : une rue triste est redoutable pour notre moral, la salle, bof, l’idéal est de courir… à la campagne.