Ca a le goût de, ça ressemble à mais ce n’est pas du tout ça. Oui, je parle d’un soda. Parce que les sucrettes, ça n’a pas du tout le goût de, ça ne ressemble à rien et en plus ce n’est pas franchement bon. Et si on s’en passait, carrément ?

L’aspartame, ces petites sucrettes que l’on met dans son café, ou ce qui donne ce goût particulier aux boissons light existe depuis plus de quarante ans. Et depuis tout ce temps là, ou presque,  on sait que l’aspartame est un poison et une drogue dure.

En 2004, on a démontré que l’ingestion d’aspartame peut provoquer des niveaux excessifs de phénylalanine dans le cerveau. Or, quand ils sont en excès, ces niveaux peuvent amener une décroissance du niveau de sérotonine, conduisant à des désordres émotionnels tels que la dépression.

Ou encore, la sclérose en plaques, des crises d’épilepsie, des tumeurs du cerveau… Pas moins de 2 621 effets secondaires (dont œdèmes, céphalées, convulsions…) sont rapportés à la suite de 7 000 plaintes de consommateurs en 1994 aux États-Unis.

Une drogue dure

Une info réjouissante : l’aspartame est 100% chimique. Sa composition comporte la phénylalanine (50 %), l’acide aspartique (40 %) et l’ester de méthyle (10 %) qui se transforme rapidement en alcool méthylique après ingestion.

Suite à leur dégradation métabolique, ces molécules se transforment en plusieurs sous-produits neurotoxiques, dont le formaldéhyde, qui entraînent la mort des cellules synaptiques par sur-stimulation, un peu comme la cocaïne. Elles provoquent une grave dépendance avec phénomène de sevrage violent pour les grands consommateurs qui essaient d’arrêter d’en consommer.

L’aspartame ne fait pas maigrir

Au départ, la raison majeure de prendre de l’aspartame, c’est que ça n’apporte pas de calorie, donc ça ne fait pas grossir. Malheureusement, comme la plupart des édulcorants, l’aspartame entretient le goût du sucré, ce qui engendre une production d’insuline et peut donc qui favoriser le stockage de graisses.

Ce n’est pas un produit diététique. Bien au contraire, il provoque un besoin fébrile de glucides et fera tôt ou tard grossir. De plus, le formaldéhyde issu de sa dégradation se stocke dans les cellules graisseuses, particulièrement dans les hanches et les cuisses.

L’aspartame et ses copains

Les petits camarades de l’aspartame sont eux aussi loin d’être des enfants de chœur. Il faut savoir qu’il existe deux types d’édulcorants.

Les édulcorants intenses : aspartame (E 951), acesulfame de potassium (E 950), cyclamates (E 952), saccharine (E 954), thaumatine (E 957). Ces édulcorants portent la mention « contient de la phénylalanine ».

Et les polyols (ou sucres-alcools), présents à l’état naturel dans le règne végétal. Ces succédanés du sucre hautement raffinés portent les doux noms de sorbitol (E 420), mannitol (E 421), xylitol (E 967), maltitol (E 965), isomalt (E 953), ou encore lactitol (E 966).

Sensibles s’abstenir

Des enquêtes effectuées auprès de consommateurs d’aspartame après sevrage ont démontré que certains d’entre eux, qui souffraient de céphalées chroniques, ont été grandement soulagés.

Des personnes souffrant de diabète, malgré des traitements suivis, continuaient à souffrir de maux divers (engourdissement dans les jambes, crampes, acouphènes, douleurs articulaires, perte de la mémoire, troubles visuels). En réalité, ces mêmes personnes consommaient régulièrement de l’aspartame depuis dix ans. En cessant d’en consommer, touts leurs symptômes ont disparu.