Née dans les années 80, de l’union entre des découvertes scientifiques modernes et la connaissance ancestrale de la Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC), la nutripuncture a pour but de rétablir l’équilibre vital.
Il s’agissait d’allier médecine chinoise et médecine occidentale, de compléter la médecine moderne avec les outils et le savoir de la médecine traditionnelle. Pour découvrir qu’il n’y a qu’une seule médecine, celle qui soigne et tente de guérir, de réconcilier tout être humain avec son corps.

« Le microbe n’est rien, le terrain est tout », disait Pasteur.

Parlons du terrain

Le terrain est d’abord le « réceptacle » de milliards d’informations qui jalonnent toute une vie. C’est notre corps qui parle avec des maux à défaut de mots.

La maladie pourrait s’envisager comme l’aboutissement d’un désordre dans la circulation des courants vitaux, comme une altération ou un dysfonctionnement des méridiens d’énergie comme l’expression d’une carence acquise ou génétique.
Notre corps est un ensemble d’organes vivants animés d’une énergie qui circule selon des circuits précis que la Médecine Traditionnelle Chinoise a nommés méridiens. Ce sont ces courants vitaux qui assurent le bon fonctionnement de nos cellules et de nos organes.

Le terrain est également la façon dont notre vitalité se manifeste. Un besoin excessif de se faire aimer  peut induire une fragilité du système cardio-vasculaire, le « terrain Cœur ».

Même chose pour des personnes souffrant d’un sentiment de culpabilité disproportionné .

Ceux qui vivent dans la peur, ou les peurs, dans l’angoisse, l’anxiété, vont somatiser au niveau de l’appareil urinaire et de la région lombaire, avec calculs rénaux, mycoses, cystites ou encore lumbagos. Cette somatisation traduit souvent un « terrain Reins-Vessie », le Rein étant l’organe de la peur, celle de donner la vie, celle de vieillir, celle de mourir….

Quand le terrain est fragilisé, c’est la porte ouverte à toutes sortes de pathologies, et de maladies dites fonctionnelles, qui représente la majorité des consultations en médecine allopathique (ballonnements, colite, rhinites répétitives, céphalées chroniques…).

Et ces troubles fonctionnels, s’ils sont ignorés ou mal traités, peuvent évoluer en pathologies organiques de gravité variable. Ainsi une banale colite, pourrait un jour donner des polypes, ou des diverticules du colon.

C’est la raison pour laquelle, pour éviter d’en arriver à ce stade, la Nutripuncture trouve sa place en tant que médecine du terrain, selon le précepte: « prévenir vaut mieux que guérir ».

Que fait la nutripuncture ?

Une bonne santé est un état de bien-être somatique, psychique, relationnel, social, autrement dit,  le fait d’être en accord avec soi dans son corps et son esprit, entre son ressenti et ses actes, entre ses émotions et ses comportements, entre soi et le monde qui nous entoure.

Vite dit, vite écrit, mais, je vous l’assure, vaste programme !

Pour arriver à cet état de bien-être, il faut une approche de la santé sur le terrain, en amont de la pathologie.

La Nutripuncture utilise des complexes d’oligo-éléments qui entrent en synergie avec les courants vitaux de l’organisme. Chaque méridien, lui-même en relation avec un organe, est stimulé, dynamisé, rééquilibré, par un complexe d’oligo-éléments qui lui est spécifique.

La Nutripuncture doit donc :

-Équilibrer le terrain, au fil des saisons et des événements stressants de la vie.

-Prévenir les récidives de maladies organiques ou leur aggravation: maladies du cœur et des coronaires, de l’appareil respiratoire, du système rénal, incontinence urinaire de la femme âgée, arthrose…

-Prévenir les récidives de troubles psychiques : dépression, stress et ses nombreux effets  délétères, troubles du comportement

-Soigner les maladies fonctionnelles dont  la liste ne connaît pas de limite.

La Nutripuncture est une démarche chaleureuse, douce, qui permet aux organes de se « réconcilier », de fonctionner en accord les uns avec les autres.

Elle suppose une responsabilisation du patient dans le sens où elle ne crée aucune dépendance. Elle favorise, au sens profond du terme une guérison globale, fondée sur l’auto-guérison.