Le chien, diront les amis des bêtes (et j’en suis) apporte sa compagnie, son amitié et une oreille attentive qui écoute sans juger. Il nous voue un amour inconditionnel et nous accueille avec joie. Même quand on le punit, il est sans rancune, il comprend quand on a du chagrin, et on peut tout lui confier, il ne répètera pas.

Oui mais, quand il s’oublie sur le tapis du salon et laisse une flaque de la grandeur du Lac d’Annecy, c’est moins marrant. Et quand à 4H du matin il vomit ses croquettes dans un bruit d’avion à réaction, c’est franchement râlant car il faut se lever pour nettoyer et le soigner sans barguigner.

Soyons sérieux: des recherches ont été menées pour connaître l’impact bénéfique des chiens dans les domaines physique, émotionnel et affectif. Le fait de caresser un chien réduit la tension artérielle et la fréquence cardiaque de son maître, et des statistiques prouvent que les possesseurs de chiens ne font pas ou peu de dépression et sont  en meilleure santé, souffrant moins de petits maux tels que les coups de froids, ou les douleurs dorsales.

Un chien contribue également à structurer la journée à travers la routine quotidienne des soins et des attentions qu’il réclame.

Donc un chien c’est bien pour:

-s’extraire de chez soi dés l’aube, dans la froidure,  et crapahuter dans les rues.

-S’extraire de chez soi le soir tard quand on regarde un bon film et crapahuter dans les rues.

-Garder la forme car du coup on est bien obligé de faire 20mn de marche à pied par jour, au moins.

-Apporter un sentiment de sécurité aux enfants et faciliter leur communication avec les autres.

-Redonner de la gaieté aux personnes âgées et seules.

Bref, si vous trouvez, malgré tout ce que je viens de vous dire, qu’un chien, c’est contraignant, il y a deux solutions:

-vivre à la campagne pour qu’il puisse gambader tout seul dehors.

-adopter un chat, un lapin, un hamster…un cochon d’Inde, ou un mulot, à vous de voir !